Projets réalisés

Liste des projets : 

2010-2014 : Croire et agir à l’aube de la modernité : regards pluriels sur Marie Guyart de l’Incarnation.

2010-2014 : Croire et agir à l’aube de la modernité : regards pluriels sur Marie Guyart de l’Incarnation.

Ce projet de recherche a débuté au printemps 2010 et s'est terminé en 2014. Il visait à explorer les sources de la modernité et les postulats relatifs à l’identité du sujet qui en émerge. Peut-on parler d’un modèle unique de sujet moderne? Dans cette perspective, les œuvres de Marie Guyart de l’Incarnation et de ses contemporains révèlent de multiples réalités dont il est possible de suivre l’évolution et les répercussions. Au cours des quatre années visées, les recherches se sont poursuivies selon quatre axes : 

  • Lectures croisées (2010-2011)

La première année (2010-2011), intitulée Lectures croisées, permettait de faire dialoguer nos interprétations des concepts centraux à notre projet, de préciser les enjeux anthropologiques de la modernité et de clarifier la portée existentielle et épistémologique de la modernité, de ses origines à aujourd’hui.

  • Le croire (2011-2012)

La seconde année (2011-2012), intitulée Le croire, permettait d’identifier la logique et la dynamique du « croire » en ses sources, ses différentes manifestations, ses héritages et les différentes expériences qu’il génère dans le champ du spirituel et de la mystique au tournant du XVIIe siècle, particulièrement chez Marie Guyart de l’Incarnation.

  • L’agir (2012-2013)

La troisième année (2012-2013), intitulée L’agir, était consacrée à l’étude de « l’agir » tel qu’il se manifeste chez des acteurs comme Marie Guyart de l’Incarnation. Ces « agirs » bouleversent les ordres établis et mettent en branle de nouveaux projets de société.

  • Le(s) sujet(s) moderne(s)? (2013-2014)

La quatrième année (2013-2014), intitulée Le(s) sujet(s) moderne(s)?, visait à répondre à notre question centrale : les processus de construction identitaire génèrent-ils un modèle unique de sujet moderne? Nos travaux dégagent les dimensions paradigmatiques, structurantes, de ces sujets modernes qui émergent depuis le début du XVIIe siècle. Notre synthèse collective en apprécie de façon critique les principales forces et les limites.

 

L’équipe multidisciplinaire et interuniversitaire qui préside à ce projet était constituée de :

  • Guy Bonneau, exégète, Faculté de théologie et de sciences religieuses, Université Laval
  • Raymond Brodeur, théologien, Faculté de théologie et de sciences religieuses, Université Laval
  • Yvette Côté, Ursuline, chargée de cours en spiritualité, Université du Québec à Rimouski
  • Dominique Deslandres, historienne, Université de Montréal
  • Marc Dumas, théologien, Université de Sherbrooke
  • Hermann Giguère, professeur associé de spiritualité, Faculté de théologie et de sciences religieuses, Université Laval
  • Thérèse Nadeau-Lacour, professeur de spiritualité, Université du Québec à Trois-Rivières et professeur associée de spiritualité, Faculté de théologie et de sciences religieuses, Université Laval